Par : ANKOBEKE DIAKOULABANTOU
FERNEY JUSTEL
Au sujet de la question constitutionnelle qui est au cœur de l’actualité politique au Congo, le Président de la république DENIS SASSOU NGUESSO a officiellement annoncé à l’aéroport Maya Maya dès son retour au pays le 6 Décembre 2014 de son long voyage au Sénégal et à Cuba.
Que ce soit le peuple qui se prononcera sur ce sujet constitutionnel, de la même façon que le Peuple Français s’était prononcé par référendum sur le lancement de la Vème République du Général De Gaulle. En réalité, le premier MAGISTRAT CONGOLAIS vient d’annoncer officiellement ce 6 Décembre la tenue d’un référendum constitutionnel.
Le chef suprême des armés a aussi déclaré que le peuple Congolais a tant lutté pour ne plus recevoir des injonctions venues de l’étranger, sans oublié au passage que lui même était revenu au pouvoir en 1997, grâce à la bénédiction étrangère de la France par Jacques CHIRAC, et de l’Angola par DOS SANTOS.
Curieux paradoxe ou mémoire sélective du Président de la république. Nous espérons pour le Président que ceux qui l’ont installé sur ce fauteuil présidentiel, ne seront pas les mêmes qui vont le déloger de là ; ne dit-on pas que la main qui donne est supérieure à celle qui reçoit?
Ce message officiel du CHEF DE LA MAGISTRATURE SUPREME sur la tenue d’un référendum, nous emmène à faire les analyses suivante :
Primo. Sur le calendrier et le corps électoral du référendum.
Au Congo Brazzaville sou le règne du PCT, depuis le président Marien NGOUABI jusqu’au président DENIS SASSOU NGUESSO plusieurs génération des jeunes ont été sacrifiés pendant plus de 40 ans ; une jeunesse sans diplômé et diplômé sont sans emplois, sans logements, et sans espoirs d’avenir etc. le pétrole et bien d’autres richesses qui devrait profiter à tous les congolais ne profite qu’a un groupe des personnes. la jeunesse congolaise doit prendre conscience à leur actuel et reprendre son autonomie pour éviter de sacrifier les générations avenir. c’est pourquoi le peuple Congolais en général et la jeunesse en particulier, du nord au sud doivent regarder plutôt ce qui les unit que ce qui les désunit, la NATION CONGOLAISE notre BIEN COMMUN et bien indivis.
Je rappelle aux jeunes qui militent dans les différents partis politiques de la Majorité présidentiel, de l’opposition :PCT-Jeunesse montante, UPADS-Jupads, MCDDI-Jmcddi, DRD-Organisation des jeunes dynamiques, RDPS-Jeunesse du RDPS,MARE-jeunesse du MARE, PSDC-Jeunesse du PSDC,UDR-MWINDA-Jeunesse d’UDRMWINDA,UPRN-Jeunesse d’UPRN,RC-jeunesse du RC, PRL-Jeunesse du PRL,CLUB 2002-Jeunesse du club 2002 de la société civile, comme les élèves, les étudiants, les ouvriers, les religieux etc. Que le destin de ce pays est entre nos main, vous qui êtes l’élite politique de demain pour ce beau pays prenons conscience de l’impératif des enjeux de l’heure.la situation est si grave que vous ne le croyez. depuis des années un virus de traumatisme, de peur, de dépendance, de fanatisme, d’égocentrisme, de tribalisme, de haine, de violence, d’intolérance, de distraction, de division, d’ivrognerie, d’attentisme et de silence entretenue de toute pièce a été lancé dans notre mémoire vive. cherchant à se réveiller pour installer un anti-virus dans notre subconscient contre ses mots cités ci-dessus afin de reprendre notre autonomie intégrale et la liberté de conscience et de personnalité. Ses vieux loups politiciens sont les assoiffés du pouvoir, ils seront toujours là pour nous utiliser comme marche pied au profit de leurs intérêts individuels. unissons-nous et crayons nos propres leaders ainsi barrent la route à ceux qui sacrifie notre avenir. le projet de changement de la constitution est un véritable poison pour l’heure. Nul ne peut et ne pourra mieux prendre notre avenir en main que nous même. Car plusieurs projets de société nous ont été présentés avec des promesses. mais rien n’a été respecté. par exemple :
- En 2002 Nouvelle Espérance 40.000 emplois par an promirent. Emplois pour tous cela n’a été que du mensonge. - De 2009 à nos jours .Chemin d’Avenir Industrialisation et modernisation du Congo, a deux ans de la fin du mandat du président de la république rien n’est encore clair.
En réalité, en ma qualité de citoyen congolais militant des droits civiques et de la démocratie, j’ai eu le privilège de participé aux différentes processus de recensement, processus pré-électoral et électoral dans mon pays. Plusieurs fois j’ai été un agent recenseur, directeur de campagne, agent de bureau de vote et observateur des élections. j’ai acquis une parfaite expérience du déroulement de processus d’une élection, actuellement je maitrise quelques points fort et points faibles du déroulement d’une élection au Congo. Pendant les élections présidentielles de juillet 2009, j’ai été le délégué du candidat de Rassemblement de la Majorité Présidentiel(RMP) Denis Soussou Nguesso. après dépouillement des résultats de vote qui rendait mon candidat favori dans le bureau de vote où je l’ai d’ailleurs représenté. Un constat a été fait par tous le tôt d’abstention élevé à plus 91% dans ce centre de vote. ce qui explique l’inattention et l’in considération du vote par le peuple. Ce qui est très grave pour une nation qui se réclame en Etat de démocratie et de droit. Les dirigent devrait s’interroger pour savoir qu’est ce qui ne va pas ? pourquoi le peuple ne participe-t-il plus assez aux différentes élections qu’ils organisent ? et comment les stimuler à participer de manière active et massive aux différentes étapes des élections jusqu’au vote comme en 1992 après la conférence nationale souveraine?
le peuple Congolais ne compte que près de 4 millions d’habitant avec 3% de croissance, quatrième producteur de pétrole du continent Africain et il possède plusieurs réserves en matière première les quelles : de fer, de potasse, d’or et de gaz. au Congo un Habitants sur deux vivent en dessous du seuil de la pauvreté. Un (1) ménage sur trois (3) sans électricité. troisième (3ème ) pire pays du monde pour faire des affaires. Indice de perception de la corruption classé 144 sur 174 pays. Selon plusieurs sources d’informations l’anniversaire de la première Dame ANTOINNETTE SASSOU NGUSSO organisé à l’étranger à saint tropez en France aurait couté 1 millions d’euros soit 650.000.000 de Francs CFA avec l’argent sorti du trésor public congolais. alors qu’il manque de médicament dans les hôpitaux, de l’eau de l’électricité et quoi mettre sou la dent.
cette fameuse émergence du Congo à l’horizon 2025. Est une vision que le président de la république avait prévue à l’Horizon 2016,dans son livre parler vrai pour l’Afrique à la page 215,il est bien clair.je cite « …la continuité et la nouvelle impulsion qui caractérisent le Chemin d’Avenir convergent vers une même ambition forte : celle de faire du Congo, à l’Horizon 2016,un pays profondément transformé, un pays modernisé et attractif, devenu un important producteur de biens et des services, un pays compétitif et créateur d’emplois, un pays intégré à la sous-région et au monde. Donc pays émergent à l’horizon 2016… ». puisque l’échec du chemin d’avenir est connu. Sans faire le bilan, deux ans avant la fin du mandat en projette le Congo pays émergent à l’horizon 2025 et en lance le projet de changement de constitution pour se maintenir au pouvoir. soyons donc vigilant ne perdant aucun détail, déployons tous les moyens constitutionnels pour arriver à nos fins.
Le peuple congolais en général et la jeunesse en particulier ont maintenant trois (3) options :
En outre, dans un pays avec plusieurs ethnie, quand une seul ethnie monopolise le pouvoir pendant plusieurs décennies et impose sa suprématie tôt ou tard ce sera la guerre civile. Le pouvoir absolu coran absolument, le président élu ne peut être élu indéfiniment. un jour ou l’autre le peuple voudra un changement et alors ce sera la guerre civile. Le président élu une fois, élu deux fois, élu trois fois et élu quatre fois sa devient de la dictature. S’imposer démocratiquement sans un projet convaincu par le peuple et il suffit qu’une voix s’élève pour dire que ma tribu n’est pas une marionnette et ses là que la guerre civile pourra se déclenchée. Alors jeunesse congolaise, la force vive de la nation, l’avenir de demain interrogeant nous !post tribal et post colonial comment allons-nous faire pour la désamorcer ?si les règles de la démocratie ne sont pas respectés nous risqueront de tombé dans la guerre civile qui ne profite à personne, les dégâts sont immenses tant physiques que matériels. Rappeler vous que depuis son accession à l’Indépendance notre pays le Congo ne fait que navigué à une instabilité institutionnelle répétitif il y a aujourd’hui cinquante-quatre (54) ans, notre pays a été régi par treize (13) textes fondamentaux, à savoir six constitutions et sept actes fondamentaux (dont huit (8) textes fondamentaux sous les seules égide du président de Denis Sassou-Nguesso), ce qui classe le Congo parmi les pays d’Afrique qui souffrent le plus de l’instabilité constitutionnelle. Le non-respect des droits et libertés fondamentaux, qui résulte de cette situation, a engendré la culture de la violence politique qui caractérise l’histoire de notre pays, notamment depuis l’avènement de la République le 28 novembre 1958 et particulièrement, après les 13, 14 et 15 août 1963, pendant la longue période du monopartisme. En somme cette période a été caractérisée par des privations de libertés et des violations massives des droits de l’Homme. Le pouvoir était « au bout du fusil » et « le parti dirigeait l’Etat » pour atteindre les « idéaux de la révolution ». Le parti unique présentait par conséquent des candidatures uniques aux différents postes politiques pour les faire « avaliser » par le peuple. Le critère principal pour être éligible et pouvoir accéder à une fonction publique était le « militantisme ». En 1990, le Congo a connu une période assez mouvementée résultant d’une forte demande de démocratie. Les profonds bouleversements au niveau international (effondrement du mur de Berlin la chute de l’URSS, discours de la Baule…) ainsi que le contexte socioéconomique interne ont suscité une série de grèves et de revendications en faveur de plus de libertés et de meilleures conditions de vie. Cette situation a abouti à la tenue de la Conférence nationale souveraine qui a créé les conditions d’une vraie ouverture à la démocratie et au pluralisme politique. Le 15 mars 1992 une constitution a été adoptée par référendum. Elle a consacré, au terme d’élections libres, un régime semi-présidentiel avec un parlement bicaméral. Entre le 05 juin et le 15 octobre 1997, le Congo a connu une guerre civile à l’issue de laquelle l’ancien chef d’Etat, ancien chef des armés Denis Sassou Nguesso a accédé au pouvoir. Il a alors abrogé la Constitution du 15 mars 1992 et proposé un acte fondamental le 24 octobre 1997 qui a ouvert une période transitoire de cinq (5) ans. Pendant cette période, le texte de la nouvelle constitution a fait l’objet de larges débats, surtout dans le camp des vainqueurs de la guerre civile de 1997, à travers deux assises dénommées « Forum national pour la réconciliation, l’unité et la reconstruction » en janvier 1998 et le « Dialogue national sans exclusive » tenu en mars et avril 2001. L’option prise au cours de ces assises a été l’instauration du régime présidentiel en lieu et place du régime semi-présidentiel de la Constitution du 15 mars 1992 : selon les vainqueurs de cette guerre civile de 1997, l’un est censé être le garant de la paix et l’autre porterait les germes de la violence. Le 20 janvier 2002, la Constitution est adoptée par référendum. Elle a obtenu, selon les chiffres officiels, 84,26 % des suffrages exprimés, avec un taux de participation de 77,98 % des inscrits. La Constitution du 20 janvier 2002 consacre ainsi le régime présidentiel avec un parlement à deux chambres et institue le mandat présidentiel de sept (7) ans, renouvelable une fois, ce qui limite à deux (2) le nombre de mandats présidentiels. En réalité, en 12 ans d’existence, la Constitution actuelle a plus été violée qu’appliquée ; ce qui n’a pas permis au peuple congolais d’en faire une expérience profonde et d’en tirer les bénéfices attendus en termes de promotion de la démocratie, de l’Etat de droit, ainsi que du développement économique et social. La liste complète des dispositions constitutionnelles constamment violées en toute impunité serait longue, ici nous n’en citons en substance que quelques-unes : - Nul ne peut être arbitrairement accusé, arrêté ou détenu. Est interdit tout acte de torture, tout traitement cruel, inhumain ou dégradant (article 9) ; - Le droit d’exprimer et de diffuser librement son opinion par la parole, l’écrit, l’image ou tout autre moyen de communication ; la censure étant prohibée (article 19) ; - La liberté d’aller et de venir, d’association, de réunion, de cortège et de manifestation (article 21) ; - La protection des intérêts moraux et matériels de tout citoyen auteur d’œuvre scientifique, littéraire ou artistique. La mise sous séquestre, la saisie, la confiscation, l’interdiction de tout ou partie de toute publication, de tout enregistrement ou d’autres moyens d’information ou de communication ne peuvent se faire qu’en vertu d’une décision de justice (article 29) ; - L’obligation pour tout citoyen, élu ou nommé à une haute fonction publique, de déclarer son patrimoine, au début et à la fin de ses fonctions (article 48) ; - L’interdiction au Président de la République et à tout ministre, dans l’exercice de leurs fonctions, d’acheter ou de prendre en bail, par eux-mêmes ou par personne interposée, un bien appartenant au domaine de l’Etat (article 73) ; En tout état de cause, les violations des dispositions de la Constitution du 20 janvier 2002 avaient déjà fait l’objet d’une lettre interpellatrice adressée aux présidents des institutions constitutionnelles en janvier 2009 par les partis et associations politiques du Congo-Brazzaville et les organisations de la société civile congolaise. Le contexte politique et social au Congo-Brazzaville est caractérisé par la restriction des libertés fondamentales autant individuelles que collectives. L’exercice du pouvoir dans notre pays traduit une forte propension à ignorer les normes établies, à ne pas accorder la primauté à la règle de droit. Ainsi, la Commission nationale des droits de l’homme, qui devait être le rempart contre les abus de pouvoir et les atteintes à la dignité des populations, ne fonctionne pas comme il se doit. Il est évident, d’après l’analyse de la situation le constat est que ce qui intéresse le pouvoir actuel ce n’est pas une modification de la constitution pour un meilleur fonctionnement des institutions publiques et de la société, c’est essentiellement pour maintenir le président Denis Sassou Nguesso au pouvoir afin que ses appendices reste longtemps pour gérer seul les règnes de se pays. Pour la Majorité présidentielle, changer la constitution du 20 janvier 2002, c’est exclusivement faire sauter les articles 57 et 58, portant en substance sur la limitation du nombre de mandats et de l’âge. Or, l’article 185 dispose que « La forme républicaine, le caractère laïc de l’Etat, le nombre de mandats du Président de la République ainsi que les droits énoncés aux titres I et II ne peuvent faire l’objet de révision ». En l’an deux mille seize (2016), le Président de la République aura donc épuisé ses deux mandats conformément à la Constitution. Il aura ainsi comptabilisé dix neufs ans consécutifs à la tête de l’Etat congolais. L’alternance démocratique exige, tel que le prévoit la constitution, qu’il ne présente plus sa candidature à ce poste. Je pense que le président de la république, le garant de la paix chèrement acquise ,le chef de la magistrature suprême ne sera pas tenté de modifier cette constitution, j’espère qu’il va céder le témoin à la jeunesse comme il a bien su le dire dans son livre, je cite : Parler Vrai pour l’Afrique a la page 89 et 90 « … est ce que parmi, ses jeunes certains sont capable, d’assumer des responsabilités politiques ?...mais je suis persuadé que le Congo ne manque pas de jeunes capable de prendre la relève ». les plus âgés font il la place aux plus jeunes ? réponse : « Sans doute. ceux de nos dirigeants politiques qui peuvent être considérés comme des anciens commencent à quitter la scène politique, qu’il s’agisse de Kolelas, de Yhombi, de Lissouba et d’autres. Moi-même d’ailleurs à soixante-six(66), soixante-sept(67) ans, je commence à envisager la sortie, parce que notre constitution stipule que, à plus de soixante-dix(70) ans, on ne peut plus être candidat à la présidentielle. - Cela veut-dire que, si vous êtes réélu en juillet 2009, ce sera votre dernier mandat ? Réponse : en tout cas, la constitution précise que le président de la république ne peut effectuer plus de de mandats. J’espère que le premier Magistrat Congolais son excellence Dénis SASSOU NGUESSO pourra bien aussi observer les conseils de son conseiller Claude MELIN au cours d’une émission qui disait. le conseil que je donne au président de la république est de sortir par la grande porte, à la MANDELA en 2016 et de laisser à son successeur le soin de se préoccuper des questions de changement de constitution il sera plus respecté que jamais... Enfin, Je crois que le SOLDAT DE LA PAIX, MEDIATEUR D’AFRQUE pourra bien respecter les conseils de son oncle, YOKA AIME EMMANUEL ; en son rang et qualité du Ministre d’Etat, des Droits Humains, de la Justice et Garde des Sceaux qui au cours de célébration de la journée de la république, le 28 Novembre 2014 au palais du peuple a adressé son message sur l’Etat de droit, la démocratie et la république a lu le droit pendant son discours plus d’une heure et à soumis tout le monde à une si longue exercice« debout », y compris le chef de l’Etat et les autres membres du gouvernement. pour aussi attirer sérieusement l’attention du président de la république et ainsi celle de ses proches collaborateurs pour ne pas céder a toute tentative de Changement de Constitution. Je cite :…la constitution ne prévoit pas le referendum d’initiative populaire … Et donc. J’attire l’attention des gouvernants et gouvernés prenons conscience à quoi nous sommes exposé. Nous ne voulons plus jamais vivre çà. Ça suffit il faut que ça change. Pour ainsi conclure. NELSON MANDELA ne disait-il pas que, « je reconnais dans le président Denis Sassou Nguesso un homme qui n’est pas seulement l’un de nos grand dirigeants, l’un de ceux qui ont présidé aux destinées de l’Organisation de l’unité Africaine, mais également l’un de ceux qui ont soutenu, de façon inconditionnelle, les revendications de nos combattants pour la liberté, et qui ont œuvré, sans relâche, pour la liberté de leurs chaines les peuples opprimés et contribué à leur redonner dignité et espoir. Il continu ses propos : Nous n’oublierons jamais ses efforts continuels en faveurs de la libération des peuples d’Afrique Australe. Nous n’oublierons jamais le négociateur qui a accueilli, à Brazzaville, la conférence internationale ayant conduit à l’indépendance de l’ANC par le régime de l’apartheid et à la libération de tous ses prisonniers…signé NELSON MANDELA MADIBA. |
Je suis certain que le président Denis Sassou Nguesso a pu remplir sa mission en servant la nation congolaise en particulier et l’Afrique en général.si en 2016 il sort par la grande porte le peuple lui sera reconnaissant et les congolais pourra le considéré comme étant le sage d’Afrique. disait un adage africain : plus qu’en vieillit, plus qu’en acquiert la sagesse. en Afrique comme au Congo il est souvent rare d’atteindre 70 ans et plus. cet âge est considéré comme l’âge de la connaissance du bien et du mal, l’âge de la maturité et de la sagesse. Mais d’ici peu le président Denis Sassou Nguesso serait appelé le vieux sage.
Pour l’amour de la patrie, la paix durable et votre attachement pour le Congo notre beau pays unis et indivisible et au nom de la jeunesse congolaise dont je fais partie. Je vous formule mes veux de ne pas vous laisser tromper par quelques collaborateurs autours de vous, de changer la constitution, et laisser bien votre successeur de voir cette question plu tard. Pour que nous et vos enfants, petit fils, des générations d’aujourd’hui et de demain puissions achever ce qui n’a pas été fait, afin que nous puissions vivre dans un pays où il ferait beau à vivre.
Contact : ingenieurjustel@gmail.com
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