MOUVEMENT CONGOLAIS POUR LA DEMOCRATIE ET LE DEVELOPPEMENT INTEGRAL ------------------- PERMANENCE DU PARTI ------------------ |
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DECLARATION DES MEMBRES DU COMITE NATIONAL OPPOSES A LA CONVENTION ANTISTATUTAIRE
Militantes et militants,
Chers frères et sœurs du MCDDI,
Dans sa déclaration rendue publique le 21 décembre 2012, le frère Hellot Matson MAMPOUYA, secrétaire national permanent du MCCDDI, chargé de la communication et de la mobilisation, porte-parole, dénonçait les dérives désastreuses dans lesquelles le coordonateur du bureau exécutif national, le frère Guy Brice Parfait KOLELAS enfonçait le MCDDI notre parti.
Soutenant la prise de position du permanent du parti, le collectif des membres du bureau exécutif national et du comité national acquis à la cause, a fustigé ce comportement anti-statutaire et déclaré de nullité absolue la convention de Kinkala.
Aujourd’hui encore, bien mal lui en a pris, le coordonateur du BEN, le frère Guy Brice Parfait KOLELAS, ayant révélé sa véritable nature sadique et machiavélique, a dans une tentative scabreuse et sujette à caution, voulu parvenir au rêve tant caressé et si savamment préparé.
Violeur impénitent et invétéré des textes fondamentaux du parti et usurpateur né, il a dans son arrogance habituelle, enfreint de nouveau les articles 113 des statuts, ainsi que les articles 64, 144, 145, 148 et 149 du règlement intérieur du MCDDI.
Pourtant c’est lui-même qui, sentant la mort prochaine du président fondateur, avait fait concocter ces textes en les faisant avaliser et signer pour usurper la direction du parti, comme s’il souhaitait la mort de son géniteur, à l’instar de Brutus qui voulait précipiter son père pour le remplacer au trône.
Pour preuve, il a fait un saut en hauteur en passant du numéro 6 du parti, au numéro 2, peut avant la mort du président fondateur.
Comprenez la suite.
Le président Bernard KOLELAS ayant lutté toute sa vie durant pour la démocratie, nous n’accepterons jamais l’imposture, « la dynastie des omeyades », la tyrannie.
Par conséquent, la radiation ou l’exclusion de certains frères du parti est nulle et de nullité absolue, les acteurs l’ayant prononcée n’ayant pas qualité pour agir, et ayant une fois de plus violé les textes.
Nous avons été nommés par le président fondateur et par parallélisme des formes, seul le président du parti ou le congrès peut nous relever. Encore faut-il établir la faute qui de notre point de vue se trouve du côté du bourreau.
Vive la démocratie,
Vive le MCDDI.
Fait à Brazzaville, le 5 janvier 2013
Pour le collectif,
Sénateur Lazare MOUANGA NKEOUA
Membre du BEN,
Dernier directeur de cabinet
du président Bernard KOLELAS.