TOUTE LA LUMIERE SUR LES EVENEMENTS DU 04 MARS A MPILA
I. DECLENCHEMENT DES EXPLOSIONS
Le 04 Mars au matin, de violents explosions secouent la ville de Brazzaville, des édifices, des maisons sont pulvérisées,
des centaines de personnes trouvent la mort dans certains quartiers de la ville, jusqu’à Kinshasa, l’onde de choc porta des dégâts très importants.
I. 1. REACTIONS DIVERSES
-
Réactions des dirigeants
Face à cette catastrophe, le gouvernement engage une communication confuse, le ministre à la présidence, chargé de la
Défense s’égare dans une estimation superficielle des dégâts (quelques tôles arrachées et 04 blessés).
Le président de la république accuse un court circuit survenu dans les magasins d’armes au régiment blindé.
Ces deux autorités en charge de la défense au plus haut niveau de l’Etat se fourvoient donc à l’instar de leur subordonnés
complètements étourdis par la situation et incapables d’obtenir les renseignements fiables de première qualité.
-
Réactions des Cadres
Pendant ce temps, quelques cadres courageux se portent sur les lieux pour vérifier au plus prés les informations.
Les jeunes cadres commandant les unités dans l’adversité courent vers leurs structures et tentent d’arriver dans leurs
casernes pour évaluer les dégâts.
Les cadres commandant au haut niveau sont absents du terrain et Dieu seul sait ce qu’ils fabriquent, (le haut commandement
de la force publique).
De tous, sauf le colonel Marcel NTSOUROU, Secrétaire Général du CNS, s’est précipité sur le terrain pour
constater les dégâts et ensuite le chef d’Etat Major Général.
-
Réactions des populations
Les populations congolaises meurtries et abandonnées sont désemparées devant la puissance dévastatrice des évènements et ne
sachant à quel saint se vouer, leurs morts dans les bras et leurs maisons détruites, la ville est dans un chaos sans précédent.
I. 2. LIEU DE L’EXPLOSION
Dès la 1ère heure, les Congolais sont informés que l’explosion provient des casernes de Mpila et dans la journée,
le lieu précis est cerné, il s’agit de l’ECRAMMU.
·
Qu’est ce que l’ECRAMMU ?
Anciennement appelé DCAM (Direction Centrale de l’Armement et des Munitions), ECRAMMU est en fait un site situé face à
l’intendance, juxtaposé au Régiment blindé et dont le rôle principal est de stocker, conserver, réparer et distribuer l’armement et les munitions à la force publique et gérer la réserve
ministérielle.
Nul ne pouvait imaginer en ce temps là que ce rôle avait été galvaudé et que cette structure s’était attribuée un autre rôle
illégal qui consistait à stocker et conserver les explosifs et autres substances dangereuses des compagnies privées ESCOM, SGEC, SOCOFRAN, entreprises chinoises et autres en quantités estimées à
des milliers de tonnes d’explosifs, d’une puissance destructrice prohibée dans une zone urbaine.
I. 3. STOCK PRESENT A L’ERAMMU AU 04 MARS AU MATIN
Ce matin du 04 mars, les magasins de l’ECRAMMU sont bourrés de milliers de munitions de petits calibres, des
roquettes d’aviation, de bombes d’aviation de forte puissance, de munitions délabrées prévues pour la destruction, de missiles sol-air et sol-sol, de charges de lancement de RPG9 pour les
munitions des FAC, de roquettes de RPG7 et appareils optiques.
Des centaines et des milliers de sacs de nitrate, des cordons détonnant, des détonateurs de cartons d’explosifs divers et
des paires de TNT, des sacs de Nitrate d’ammoniaque pour les entreprises avec en plus une dizaine de conteneurs dont 1 de 21M sur chargeur stockés dans l’enceinte du site de l’ECRAMMU et
contenant des centaines de cartons de feux d’artifices, de munitions délabrées à détruire, des milliers de cartons de nitrate.
Il faut signaler que devant un magasin stationnaient 04 containers contenant des carburants (gas-oil, essence, pétrole) pour
l’entretien des pièces de rechange laissées par les Coréens.
L’enceinte abritait aussi un générateur d’azote et d’oxygène.
En résumé, au 04 mars au matin, ce site abritait une puissance explosive colossale stockée dans une promiscuité totale
mélangeant tous les genres, ce qui amplifiait encore le risque de déflagration extraordinaire.
C’était un lieu sensible qui nécessitait une protection particulière idéale.
·
Protection Humaine
o
Personnel de garde :
Un personnel de permanence et de garde disposé à des postes de sentinelles permettant une observation totale et sans angles
morts de tout le site.
Un personnel entrainé à faire face à toutes les situations d’incendie pouvant surgir au niveau du site.
o
Documents d’alerte et de protection :
L’existence de documents écrits et de plans d’action du personnel en cas d’incendie ou de nécessité de protection ;
(documents opératoires).
L’existence de documents d’alerte, de protection et de défense.
TOUTES CES MESURES DE PROTECTION N’EXISTAIENT PAS
En plus dans ce site, séjournaient des civils des compagnies civiles et y habitait un caporal chef dans un bâtiment dont une
partie était réservée aux munitions, le Caporal chef Blood KAKOM.
I. 4 CARACTERISTIQUES DEFINITIVES DU SITE DE L’ECRAMMU LE 04 MARS AU MATIN
§
Un site hautement sensible, abritant des milliers de tonnes d’explosifs militaires et civils d’ESCOM, SOCOFRAN, SGEC, et
autres ;
§
Pas de protection extérieur convenable ;
§
Pas de protection intérieure fiable des magasins ;
§
Pas de protection anti-incendie, (ni de fortune, ni manuelle, ni automatique) ;
§
Pas de système d’alarme, ni automatique, ni manuel, ni électrique, ni sonore ;
§
Pas de plan d’action anti-incendie, pas de protection ;
§
Donc pas de personnel entrainé à agir selon des plans prévus et donc capable de réactions efficaces.
§
PERSONNEL PRESENT :
o
NGOUOLALI MISSIE (SIC) -------------------- Officier de
permanence
o
BOUANDZOBO Abdul (SIC) -------------------
Adjoint
o
ISSANGOU MAMPASSI (C.C) -----------------
o
MANANA NKAYA (Sgt) ------------------------
o
YENGOLOB Rochel (Sgt) ---------------------- de garde au site
de l’intendance
o
TSOUMOU Charlie (Sgt) -----------------------
Cuisinier
o
SOUANA André (Sgt) ---------------------------
Cuisinier
o
MAFOUA Gladyss (C.C) -------------------------
Armurier
o
KAKOM Blood (C.C) ----------------------------- Logé dans le
site
§ RESPONSABLES HIERARCHIQUES ET CORESPONSABLES DE CES MAMQUEMENTS
RESPONSABLES
HIERARCHIQUES
§
Le Ministre de Défense ------------------------Responsable du Site
§
L’inspecteur Général -------------------------Responsable du Contrôle
§
Directeur de la Sécurité Militaire ------------Responsable de la Protection des Sites
§
Chef d’Etat Major Général -------------------- Responsable des Documents Opérationnels
§
Directeur Général des Equipements -----------Responsable du Site
§
Directeur de l’Arment --------------------------Responsables des Approvisionnements
§
Chef de l’Etablissement ------------------------Responsable du Site
§
Chef des Magasins et leurs Subordonnés------Responsable des Stocks
CORESPONSABLES
§
Responsables d’ESCOM ------------------- Stockage du matériel civil dans un site militaire
§
Responsables de SOCOFRAN ------------- Stockage du matériel civil dans un site militaire
§
Responsables de SGEC --------------------- Stockage du matériel civil dans un site militaire
§
Responsables des Autres Entreprises – Stockage du matériel civil dans un site militaire
§
Les responsables signataires des contrats de stockage avec les Entreprises civiles
I. 5. DES FAITS SURVENUS LE 04 MARS A L’ORIGINE DES EXPLOSIONS A L’ECRAMMU
·
POSITION DES PERSONNELS DE SERVICE AU MATIN
Au matin du 04 mars, le chef de poste, MIERE Raymond, est parti pour des problèmes personnels ; le C/C
GANA parti lui aussi avec le C/C KAKOM mandaté par le C/C ISSANGOU à la recherche de 20 000 francs CFA à lui prêter, les a remis à
KAKOM et n’est plus revenu. Le Caporal-chef OBA est parti pour des problèmes personnels. Le Caporal-chef KAKOM parti avec GANA
est revenu avec les 20 000 francs prêtés à ISSANGOU par GANA.
L’Adjudant OKEMBA, officier de permanence montant, ayant amené 02 bidons est ressorti.
Il reste au service 09 personnes :
-
S/C NGOUOLALI MISSIE (Officier de permanence placé au niveau de la permanence avec le Sergent MANANA venu
charger son téléphone portable)
-
S/C BOUANDZOBO Abdul (Officier de permanence adjoint)
-
C/C ISSANGOU MAMPASSI
-
Sgt TSOUMOU Charlie (Cuisinier venu pour nourrir la garde montante)
-
Sgt SOUANA André (Cuisinier venu pour nourrir la garde montante)
TOUS AU NIVEAU DE LA TELEVISION DEVANT LE MCRA
-
C/C MAFOUA Gladyss (Armurier se préparait à se rendre à la douche)
-
Sgt YENGOLO Brochel (venu de l’intendance se changer au poste)
-
C/C KAKOM Blood (dans sa chambre au niveau du magasin qui a pris feu)
§
DU COUPABLE : le Caporal-chef KAKOM Blood
Ce matin là, KAKOM qui était sorti avec GANA pour ramener les 20 000 francs CFA de
ISSANGOU s’était acheté à manger et décide de se faire sa cuisine à domicile malgré le fait que le Capitaine BOUKETOMO, chef des magasins, lui avait déjà fait la
remarque et que le S/C FERRET, son adjoint avait failli le gifler pour ce genre d’activité.
Il récupère donc son foyer a charbon et se cache pour pouvoir l’allumer.
Le foyer à charbon étant froid, il décide de le chauffer en le tournant d’une main et en tenant dans l’autre main une
cigarette.
Dans ce mouvement tournant, le manche du foyer à charbon cède et le foyer cogne les grilles, le charbon ardent se propulse
dans le magasin ; il comprend alors sa bêtise.
Il prend une direction pour sortir en cachette et croise une dame et prend la direction par laquelle
YENGOLO l’aperçoit et l’interpelle à propos du feu dans le magasin qui est derrière lui.
Il ne répond pas et prend la fuite.
Il l’avouera presque deux (02) mois après à la commission et devant le procureur, au parquet en présence des vingt trois
(23) prétendus suspects.
Le feu se répandra dans le magasin du fait de la présence des produits stockés par les sociétés civiles et de l’incapacité
des personnels de l’éteindre par manque de dispositifs anti-incendie jusqu’à la 1ère déflagration qui surviendra, selon le personnel, presque vingt (20) minutes après le début de
l’incendie.
L’immensité du volume des explosifs accumulés a produit la puissance qui tua les Congolais et détruit les bien meubles et
immeubles.
§
DES CONCLUSIONS EVIDENTES DECOULANTS DES FAITS
o
Face à cette évidence, la fameuse commission d’enquête aurait dû conclure que :
-
DES CAUSES :
·
La cause principale découle d’une erreur humaine
·
Les causes secondaires sont :
ü
Le stockage désordonné des milliers d’explosifs militaires et civil dans un site dont les conditions de sécurité anti-incendie n’étaient pas
garanti et le personnel de service non entrainé à faire face à la situation qui s’était créée.
-
DES RESPONSABILITES :
·
Le S/C KAKOM est responsable de l’incendie pour avoir, malgré les interdictions préalables, voulu allumer un feu et faire la
cuisine, il s’agit d’un incendie involontaire.
·
Toute la hiérarchie de cette structure de l’ECRAMMU est responsable
-
Le Ministre de la Défense
-
L’inspecteur Général
-
Le Directeur de la Sécurité Militaire
-
Le Chef d’Etat Major Général
-
Le Directeur Général des Equipements
-
Le Directeur de l’Armement
-
Le Chef de corps de l’ECRAMMU
Sont responsables chacun en ce qui le concerne pour n’avoir pas pris les mesures nécessaires afin de garantir la sécurité du
site et sa protection anti-incendie, tout comme le système d’alarme.
Tous devraient et doivent être traduits en justice.
Ainsi s’achevait tout, et tous les innocents interpellés doivent être libérés.
L’immensité du volume des explosifs accumulés à produit la puissance qui tua les Congolais et détruit les biens meubles et
immeubles.
II. LA MAUVAISE FOI D’UNE COMMISSION D’ENQUETE INQUISITRICE
Le 06 mars au matin, devant la douleur ces Congolais, la cellule de coordination du Conseil National de Sécurité composé de
tous les chefs de services de sécurité et du chef d’Etat Major de l’Armée en présence de deux (02) ministres, de l’intérieur et de la défense se réunit pour mettre en place une commission chargée
de découvrir les causes de cette catastrophe et d’établir les responsabilités.
Cette commission dont la liste est publiée portera pour longtemps la honte des services de sécurité pour avoir accepté de
devenir un instrument de chasse aux sorcières sur le dos des malheurs du peuple Congolais.
Mise en place et modifiée à cet effet, elle a été rapidement instruite pour être un instrument de persécution du Colonel
Marcel NTSOUROU sur qui il fallait à tout prix mettre ce crime.
·
SES GRIEFS :
o
Avoir organisé dans la nuit du 03 au 04 mars son anniversaire sans inviter la nomenclature politique et militaire
o
Avoir invité les membres de la tribu Téké
o
Avoir prononcé un mot de circonstance sans référence au chef de la nomenclature
o
Avoir remercié MILONGO et LISSOUBA pour avoir intervenu dans sa carrière
o
Avoir parlé dans ses conclusions sur l’expérience de sa vie sur les limites de la peur
Un groupe de semi-analphabètes réagissant de manière émotionnelle sans comprendre le véritable sens des mots prononcés qui
pourtant n’avaient rien d’extraordinaire.
·
AUTRES GRIEFS :
o
La plupart des personnels de service à l’ECRAMMU étaient de la tribu Téké, comme si le Colonel Marcel NTSOUROU les avait
recrutés et les avait affectés à l’ECRAMMU
o
Donc si ce sont des Tékés, particulièrement s’ils sont de Lékana, ils ont agi à la demande du Colonel Marcel
NTSOUROU
o
Ainsi, tous ont été torturés pour accuser Marcel NTSOUROU, même ceux qui n’étaient pas de sa contrée
En désespoir de cause, le 30 mars, les membres de cette commission se sont acharnés sur le Colonel
Marcel NTSOUROU pour se donner les moyens d’avoir accès à ses domiciles le 03 avril 2012 et voler des armes et des documents, même des faux billets qu’ils lui avaient eux même confiés à des fins
d’enquête sur les faussaires.
Partis à la recherche des preuves sur sa participation au 04 mars et ayant échoué, ils veulent sans vergogne prendre les
armes et faux billets pour motifs d’inculpation dans le cadre du 04 mars. Le ridicule ne tue pas, il est vrai, pour ces gens.
N’ayant rien contre le Colonel Marcel NTSOUROU, ils prennent prétexte d’une interpellation qu’il a ordonné
au sujet d’un de ses propres petits NGAMI Kevin pour en faire un motif d’inculpation alors que ce dernier n’a même pas porté plainte, cherchant ainsi à opposer les frères.
Puis suivent des formulations stupides non matérialisée comme ; atteinte à la sureté de l’Etat ou propos séditieux
comme s’ils étaient hors du temps et se croyant encore au temps du monopartisme et de la langue de bois ; temps qu’ils regrettent chaque jour sans le dire ; un groupe d’anachroniques
dangereux et pervers.
Ainsi, tout a été tenté en délassant toutes les voies et les options pour mettre ce crime sur le Colonel Marcel
NTSOUROU.
Des tortures inhumaines ont été infligées à des jeunes gens ; témoignage d’une haine sans commune mesure contre
NTSOUROU Marcel.
Tout le système politique, judiciaire, sécuritaire a été mis en branle pour détruire le Colonel Marcel
NTSOUROU jusqu’à ce que soudain, toute la vérité qui a été occultée éclate ; KAKOM Blood a avoué son acte involontaire.
III. L’AMERTUME D’UN GROUPE D’ESCROCS FACE A LA VERITE ET LA HONTE, FACE A LA DERIVE ANTI NTSOUROU
Surpris par la vérité, la commission d’enquête s’effondre elle-même et ses chefs humiliés par la
dérive anti-NTSOUROU ne sachant plus à quel saint se vouer, l’ont rapidement dissoute.
Au lieu d’établir les responsabilités et libérer les innocents, ils ont recouru à un dernier subterfuge en prenant les
pauvres personnes illégalement détenues pour les jeter dans les mains de la justice, les appelant des "suspects" pour que celle-là, puisqu’elle est "libre", reprenne une instruction toujours
aussi ténébreuse et essaye de les sortir de l’impasse dans laquelle il se son jetés, dégageant le système sécuritaire et son chef de toute responsabilité.
Le système judiciaire a retenu des inculpations frauduleuses, non fondées et se donne le temps d’organiser d’autres
machinations qui seront bien sûr sans succès puisque devant tous, et en face du procureur, KAKOM Blood a reconnu qu’il était l’incendiaire involontaire, qu’il a subi lui aussi
des pressions de la part de la commission d’enquête pour accuser le Colonel Marcel NTSOUROU.
Plusieurs de ceux qui sont actuellement en prison avec le Colonel Marcel NTSOUROU sont des simples
innocents. Les responsables de la catastrophe sont ceux qui ont été cités plus haut, ils doivent être écroués à la maison d’arrêt et jugés.
IV. NOMS DES VERITABLES COUPABLES DU DRAME DU 04 MARS 2012
Il s’agit de :
-
Commandant en chef et Ministre de la Défense Titulaire
-
Ministre à la Présidence chargé de la Défense
-
Chef d’Etat Major Général
-
Directeur de la Sécurité Militaire
-
Directeur Général des Equipements
-
Directeur de l’Armement, inspecteur Général
-
Chef de l’ECRAMMU
-
Chef des Magasins
-
Responsable de l’incendie involontaire
-
Le Directeur d’ESCOM, Propriétaire des explosifs
-
Le Directeur de SOCOFRAN, Propriétaire des explosifs
-
Le Directeur de SGEC, Propriétaire des explosifs
-
Les Directeurs des Autres entreprises, Propriétaires des explosifs
-
Les Autorités ayant signé les contrats d’utilisation de l’ECRAMMU avec ces entreprises
-
Tous ceux qui percevaient des fonds auprès de ces entreprises à cet effet
CONCLUSION
Le peuple Congolais a ainsi toute la lumière sur cette triste affaire et sur le complot honteux contre le Colonel
Marcel NTSOUROU, complot ourdi et dirigé par le plus haut sommet du système sécuritaire et judiciaire du Congo Brazzaville.